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SAMEDI 27 MAI 2023
FÊTE DU PRINTEMPS ET INAUGURATION DE LA ROLLETERIA 
C'était en janvier, il faisait froid et humide, lorsque le message de Daria est arrivé dans notre boîte aux lettres : elle voulait continuer à développer son projet de crêpes en passant de sa remorque à vélo au Tuktuk. Elle cherchait donc une place de stationnement pour son Tuktuk-Rolleteria ainsi que des endroits où elle pourra gâter ses clients avec des crêpes et des galettes. Et pour finir, la question : "Y aurait-il éventuellement des possibilités aux Abattoirs ?" Nous n'avons pas eu à réfléchir longtemps : comme chacun sait, il y a plus qu'assez de places de stationnement sur le site des abattoirs - et un véhicule servant à la création de délices culinaires remplit toutes les conditions requises pour un parking culturel. Nous avons vite compris : la Rolleteria de Daria et les Abattoirs, cela pourrait - non, cela doit ( !) devenir une histoire d'amour. Quelques jours plus tard seulement, nous nous retrouvons sur le site à l'occasion du Food Save Market. Il fait encore froid et humide, les Abattoirs ne se présentent pas sous son meilleur jour. Mais l'animation du marché, avec ses légumes, sa cuisine au feu et le concert de midi de Stude et Ste Phany créent une ambiance, transforme pour quelques instants la cour intérieure froide, encombrée de camionnettes, en un lieu accueillant et inspirant, tel que nous le rêvons. Nous poursuivons le fil de la conversation. Une chose est sûre : la Tuktuk-Rolleteria n'est pas seulement la bienvenue aux Abattoirs, Daria elle-aussi veut tenter l'aventure. "Les Abattoirs sont un super endroit, et la vision d‘un centre culturel et de rencontre correspond à mes idées", explique-t-elle à propos de sa décision. L'histoire de Rolleteria a commencé pendant la période Corona, lorsque tous les concerts et spectacles étaient suspendus. Daria, la "sœur" du groupe de cinq musiciens Hermanos Perdidos, ne pouvait plus jouer de l'accordéon et du saxophone qu'à la maison, pour elle-même - les gens, le public, faire plaisir aux autres et recevoir tant en retour, tout cela lui manquait. "Il fallait que je fasse quelque chose, c'est pourquoi j'ai bricolé la remorque", raconte-t-elle. La crêperie mobile a démarré sur la place à côté de l'Epicerie à Bienne. Par beau temps, elle est rapidement devenue un lieu de rencontre apprécié - notamment parce que tout était fermé ailleurs. Au lieu d'offrir sa musique, Daria faisait désormais plaisir avec ses délicieuses crêpes. Après ce démarrage réussi, elle a continué, même lorsque les concerts ont repris leur rythme de croisière. La Rolleteria est aujourd'hui, en plus de la musique, son deuxième pilier. Depuis elle a quitté son emploi au Commerce, car elle veut se consacrer entièrement à ses deux projets de cœur : "J'ai ainsi plus d'énergie pour la musique et les crêpes - être indépendante, avoir mon propre projet me plaît - même s'il faut de la patience pour monter une affaire".
Et comme pour la musique, l'envie de faire du beau et du bon va de pair avec l'engagement politique de Daria dans la préparation des crêpes : "Je n'utilise que des ingrédients cultivés écologiquement, de saison et provenant de la région". Daria a déjà effectué avec succès un premier test avec la Rolleteria aux Abattoirs : à l'occasion du vernissage de l'exposition "De l'animal productif à l'être vivant", elle a régalé les invités avec des crêpes végétaliennes, en accord avec le thème de l‘expo. Encore préparées sur la remorque à vélo - la Tuktuk-Rolleteria ne sera mise en service que le 27 mai...
La suite est vite résumée : pour l'inauguration de la Tuktuk-Rolleteria, les Hermanos Perdidos - Daria et ses frères musiciens - ont mis sur pied une fête de printemps endiablée pour le samedi 27 mai, jour de la Pentecôte. Outre des crêpes et d'autres délices culinaires, le programme comprend également une série de délices musicaux :
- À 15 heures le pianiste, improvisateur et performeur Nicolas Engel ouvrira le bal en jouant du piano sur la scène de la cour intérieure.
- À 16 heures, un duo du collectif dijonnais Gadjo Divo proposera des sonorités de jazz manouche.
- Le groupe irlandais Kelpy séduira le public à partir de 17 heures avec des histoires sonores qui invitent à la rêverie et à la danse.
- Un temps fort exceptionnel suivra à 18 heures avec la performance musicale, dansante et littéraire EchoEcho - une première mondiale dans laquelle Chris et ses ami-e-s entremêlent différentes formes d'art.
- Cello Inferno, le one man street band avec feu et barbe épaisse, nous garantit du spectacle à partir de 19 heures.
- A 20 heures et après le dernier concert, l’Espace No. 1 accueillera en outre des DJs venus de Bourgogne - et entre les concerts, DJ Jekos fera résonner la cumbia et le reggae.
- Le point culminant des concerts dans la cour intérieure sera atteint par les Hermanos Perdidos à partir de 21 heures.
VOILÀ LE PROGRAMME EN DÉTAIL
26 AVRIL - 27 MAI 2023
EXPOSITION :
DE L'ANIMAL PRODUCTIV À L'ÊTRE VIVANT
HORAIRES :
Mardi 15:30 - 19:30
Jeudi 15:30 - 19:00
Finissage : Mardi 23 mai à partir de 16:30
Photos © Missi Superpeng + Klaus Petrus
REGARDER AVEC LES YEUX DES ANIMAUX
Dans les mois à venir, sous la devise "Changement de perspectives - pour un monde plus convivial", des artistes avec leurs visions et leurs œuvres nous invitent à élargir notre réflexion. Le photojournaliste biennois Klaus Petrus et l'artiste Missi Superpeng ouvriront le bal avec des images bouleversantes de deux mondes animaux opposés. L'ancienne cantine des abattoirs - plus connue sous le nom d’Espace No. 1 - s'établit lentement mais sûrement comme un espace d'exposition branché. Par le passé, différentes présentations et spectacles d’art ont déjà attiré des visiteurs de près et de loin. Avec Missi Superpeng, une curatrice a rejoint le GI Les Abattoirs Centre Culturel. Avec beaucoup de passion, d'engagement et de savoir-faire, elle assure la régularité et la continuité des expositions. Le coup d'envoi sera donné par une série d'expositions invitant les artistes à "changer de perspective pour un monde plus convivial". "L'idée du changement de perspective m'est venue dès le premier contact avec le GI“, se souvient Missi. "Les Abattoirs sont un lieu où se rencontrent de nombreuses personnes et leurs histoires : les différents locataires d'entrepôts et d'ateliers, les artistes, les maraîchers, des personnes ayant des problèmes de dépendance, la ville... sans oublier le souvenir des animaux qui ont été abattus ici." Dans un lieu où tant de perspectives différentes s'entrechoquent comme aux abattoirs de Bienne, la participation et le réapprentissage de l’écoute mutuelle sont particulièrement nécessaires, poursuit Missi, sculptrice sur pierre, designer en communication, professeure de yoga et de méditation, engagée dans de nombreux domaines : "J'aimerais trouver ce qui nous relie et lui donner de l'espace, plutôt que de cultiver ce qui nous sépare". Coup d'envoi avec Klaus Petrus Le premier changement de perspective est consacré – séant les anciens abattoirs - aux animaux : certains subissent leur vie dans l'élevage industriel, d'autres ont plus de chance - ceux par exemple qui sont choyés et soignés à la ferme de Grâce „Hof Narr“ à Hinteregg dans le canton de Zurich. Dans sa première exposition, Missi Superpeng met en parallèle ces deux mondes opposés : Dans les sombres images en noir et blanc de Klaus Petrus, il est question de la souffrance animale dans l'élevage industriel. Le photojournaliste et reporter biennois documente depuis des années la vie d'hommes et d'animaux qui sont marginalisés, voire oubliés par notre société. Avec ses photos impressionnantes d'exploitations où les animaux ne sont que des producteurs de viande et de lait, il donne un aperçu de réalités que nous avons trop tendance à refouler.
Missi Superpeng oppose les photos troublantes de Klaus Petrus à ses propres photos de la ferme de Grâce à Hinteregg. Depuis des années, elle y documente avec son appareil photo ce que cela signifie lorsque les animaux sont respectés et soignés comme des co-êtres-vivants. Les photos en couleur montrent un tout autre traitement des animaux et créent ainsi un contraste saisissant.
L'intention est évidente : Klaus Petrus et Missi Superpeng veulent tous deux inciter les visiteurs à réfléchir à leur relation avec les êtres vivants non humains, à risquer un regard derrière les images publicitaires léchées et à remettre en question les traditions trop bien ancrées.
D'autres perspectives sont recherchées !
Ce premier changement de perspective à l’Espace No. 1 sera suivi d'autres. La prochaine exposition de cette série est prévue pour juin. Certains éléments sont déjà dans le pipeline, mais Missi recherche également d'autres artistes de la région et de toute la Suisse qui souhaitent montrer leurs visions et leurs œuvres : l‘Espace No. 1 est ouvert à tous ceux qui souhaitent rendre leurs perspectives visibles et tangibles. La série d'expositions veut séduire à l‘exploration de points de vue liés de près ou de loin à ce lieu. L'invitation à changer de perspective s'adresse autant aux artistes qu'au public : soulever des questions avec tous les moyens de l'art, avec tous les sens, confronter les perspectives et stimuler les discours. Voir, entendre, toucher, goûter et sentir - vivre.
Si vous avez envie de présenter vos réflexions, vos perspectives ou vos œuvres à l’Espace No. 1 au cours de ces prochains mois, n'hésitez pas à vous faire connaître !
missi@schlachthof-kulturzentrum.ch
Missi se réjouit de créer avec vous de futures expositions...
25.1.2023
FOOD SAVE MARKET – ET DE DEUX !
Après le succès du premier Food Save Market en décembre dernier, les organisateurs ont invité une deuxième fois aux Abattoirs le mercredi 25 janvier. Avec une offre exceptionnelle, allant de la betterave à la courge, en passant par les pommes de terre douces et autres, les oignons, l'ail, les poireaux, les pommes.... rien que les meilleurs produits de la région, bio et de saison.
Mais le Food Save Market est bien plus qu'un lieu pour acheter des fruits et légumes à bon prix. On s'y rencontre pour bavarder autour d'un café et d'un gâteau, on y récolte des signatures, on discute, on fait de nouvelles connaissances, on écoute de la musique, on élabore de nouveaux projets...
Les points forts de ce mercredi brumeux ont été le concert à midi de Stude et Ste Phanie, qui ont ravi les personnes présentes avec leur musique - et bien sûr le pot-au-feu d’Aline, la „Waldmeisterin“, qui a réchauffé âmes et estomacs et nous a incités à savourer et à nous attarder...
7.12.2022
SORTIR LES POMMES DE TERRE DU FEU
FOOD SAFE MARKET AUX ABATTOIRS:
Rétrospective d'une action formidable – et annonce de la prochaine...
Texte: Mathias Stalder *
Photos: Enrique Muñoz García
Une petite histoire de sauvetage des aliments. Ueli Gassner est agriculteur bio à Ipsach, il gère sa ferme selon les règles de l'agriculture régénérative, des éléments de la permaculture et de l'agroforesterie. Sa ferme est la dernière de la commune d'Ipsach à être encore en activité, car en de nombreux endroits, l'agriculture n'est malheureusement plus rentable en raison de l'immense pression sur les prix. Il est donc d'autant plus douloureux de se retrouver avec 800 kg de pommes de terre sur les bras, comme ce fut le cas pour Ueli Gassner cet automne. Il a contacté par mail notre plateforme "Nourrir la ville" et nous a proposé ses pommes de terre bio à un prix outrageusement bas - pour 20 centimes le kilo.
Des prix équitables ne sont pas un luxe !
L'agriculture vaut plus, nous sommes-nous dit, et nous avons augmenté le prix, en nous basant sur les prix indicatifs des organisations bio. Contrairement à de nombreuses autres actions Food Save, nous ne voulons pas proposer des prix de dumping, car cela alimente la spirale négative des prix. Katharina Schatton, secrétaire syndicale auprès de l'organisation paysanne Uniterre, l'a souligné devant les médias à l'occasion de l'ouverture du premier marché Food Save aux abattoirs de Bienne le 7 décembre 2022 : «Les produits doivent être si possible bon marché et uniformes que possible. Les exigences que les grands distributeurs imposent aujourd'hui aux produits agricoles sont absurdes et n'apportent rien aux consommateurs, pas plus qu'aux agriculteurs eux-mêmes».
Suite au mail d'Ueli Gassner, nous avons lancé sans plus attendre le Food Save Market et avons offert sur notre plateforme en ligne la possibilité de pré-commander les pommes de terre et de faire également des dons pour les personnes touchées par la pauvreté. La marchandise pouvait ensuite être retirée à l'abattoir le 7 décembre.
L'offre a été largement utilisée... Finalement, nous avons pu vendre environ 650 kg de pommes de terre et en donner environ 250 kg à l'association Carton du Cœur. La directrice, Chantal Dutoit, nous a remerciés en ces termes : «Les pommes de terre font partie des denrées alimentaires de base que nous livrons gratuitement à nos bénéficiaires. Actuellement, nous recevons de nombreuses demandes d'aide et notre planning de livraison est rempli chaque jour, si bien que votre don nous sera très utile dans les semaines à venir". La cuisine de rue a également été prise en compte, avec un assortiment varié : outre les pommes de terre, nous avons finalement proposé une quinzaine de légumes et de fruits différents provenant de quatre producteurs régionaux, dont Farngut et Eichhof.
L'association Robin Food, qui s'engage depuis longtemps pour le sauvetage de denrées alimentaires à Bienne, a servi à son stand du café, du thé au gingembre et des frites, pour le plus grand plaisir des clients*. La cuisinière d'herbes sauvages Aline Burren a cuisiné un savoureux ragoût. Avec environ 80 visiteurs et de nombreuses belles rencontres, cette "action de sauvetage" a été un véritable succès. Avec le Food Save Market, nous ouvrons une possibilité de commercialisation supplémentaire pour l'agriculture régionale et créons la sensibilisation nécessaire à la problématique du gaspillage alimentaire : environ un tiers de tous les aliments se perdent ou sont gaspillés entre le champ et l'assiette. Cela ne doit pas être le cas !
* Mathias Stalder est coordinateur du réseau «Nourrir la ville» et cofondateur de la Foodcoop Biel-Bienne.
7.12.2022
PREMIER FOOD SAVE MARKET AUX ABATTOIRS
Ueli Gassner et Angela Weber d'Ipsach gèrent leur exploitation bio avec beaucoup d'engagement et investissent dans l'avenir ; agriculture régénérative pour la constitution de l'humus, agroforesterie et permaculture. "Rendre nos sols aptes et fertiles pour les futures conditions météorologiques extrêmes commeles sécheresses et les fortes précipitations est une tâche gigantesque pour les agriculteurs et la société toute entière. Le gaspillage alimentaire et la "stratégie du bas de gamme" des grands distributeurs n'ont plus leur place", affirme Ueli Gassner avec conviction.
Ils disposent à l’heure actuelle de quelque 800 kg de pommes de terre que le comité «Nourrir la ville / Stadt Ernähren» met en vente à un prix équitable le mercredi 7 décembre 2022 de 11h00 à 15h00 environ au Centre culturel des Abattoirs.
Ceux qui désirent peuvent réserver leurs pommes de terres déjà aujourd'hui IÇI
Entre-temps, d'autres paysannes et paysans ont contactés les organisateurs qui proposent désormais un assortiment varié de légumes biologiques, régionaux et de saison de deuxième et troisième catégorie.
Comme il se doit pour un vrai marché, il y aura aussi de quoi se restaurer sur place : Aline - die Waldmeisterin - a déjà annoncé qu'elle préparera une soupe de pommes de terre dans sa cuisine au feu de bois. Et en plus des Pommes Frites Maison... Ceux qui connaissent la cuisine d'Aline savent qu'elle sera délicieuse ...
novembre/décembre 2022
EXPOSITION«BEAUTIFUL TRASH»
Cette fois, c'est un quatuor créatif qui s'est réuni pour nous surprendre avec BEAUTIFUL TRASH :
Chrigel Ryter, Becke, Hervé Thiot et Beni06 ont présenté une exposition d'œuvres cultes.
Et le mieux, c'était possible d'acheter toutes ces œuvres...
L'exposition se poursuit jusqu'au dimanche 11 décembre.
Les heures d'ouverture :
Vendredi/Samedi de 17h à 20h - Dimanche de 14h à 18h.
Une visite s'impose !!
30.04.2022
Á LA RECHERCHE DU TEMPS PASSÉ
Le site des abattoirs avait invité à un autre événement artistique unique samedi le 30 avril 2022: 75 élèves de terminale du Gymnase Français honoreront les vieux murs des bâtiments historiques avec leurs travaux du dernier semestre ! Les œuvres seront présentées le 30 avril à l’Espace N° 1 ainsi que dans la halle Baronello et l'atelier de Chrigel Ryter. En plus, des surprises culinaires et musicales attendent les visiteurs...
SUPERPOWER AUX ABATTOIRS
Tout a commencé par un coup de téléphone début mars : Robert Criblez, professeur d'art au Gymnase français, a demandé s'il était possible d'organiser l'exposition des travaux de fin d'études de ses élèves sur le site des abattoirs...
Son idée nous a enthousiasmés et nous n'avons pas réfléchi longtemps : "notre" Espace No 1 était disponible, il est prédestiné aux expositions d'art ! Toutefois, les quelque 60 mètres carrés de cette ancienne cantine des abattoirs n'auraient jamais suffi pour exposer plus de 70 œuvres. C'est pourquoi il fallait trouver d'autres espaces d'exposition.
Bien sûr, nous avons tout de suite pensé à l'imposante halle Baronello, qui avait déjà fait ses preuves lors de l'exposition d'architecture en automne dernier... Une fois de plus, Stefano Catanese a accepté sans hésiter de soutenir le projet - une aubaine pour les œuvres d'art qui y sont présentées ! - Et Chrigel Ryter lui aussi a ouvert son atelier une fois de plus : un ensemble de magnifiques figures en plâtre a trouvé son espace d'exposition idéal...
BARONELLO HALL
ESPACE NO.1
ATELIER RYTER
Mais avant d'en arriver là, il y avait du pain sur la planche. Surtout pour les gymnasiens : ils avaient dix semaines pour développer et réaliser leur travail de fin d’année de manière autonome. Le mot d'ordre était "Superpower" - il en est ressorti une palette variée de travaux puissants...
Avec toutes leurs forces réunies, ils ont transformé le site des abattoirs en une galerie d'art. Lorsque les premiers visiteurs sont arrivés vers 17 heures, Robert Criblez a respiré profondément : nous avons réussi !
Une fois de plus, le site des abattoirs a séduit par son atmosphère particulière - de nombreuses personnes qui venaient pour la première fois se sont montrées très enthousiastes. Seule ombre au tableau - une fois de plus : les nombreuses voitures entre lesquelles les visiteurs ont dû se faufiler dans la cour intérieure.
Toutefois, la Cave des Gourmets a mis à disposition ses places de parking pour tables et bancs de fête, invitation aux visiteurs à s'attarder. Sami a enrichi l’événement avec ses gâteries culinaires tamoules, et pour le dessert, les élèves ont vendu des tentations sucrées qu'ils avaient eux-mêmes préparées...